cet article essaie d’aborder cette question que malgré le triomphe des matérialistes et les apparences de l’absurde, l’homme ne vit pas de pain et il est toujours interpellé par les questions d’ordre métaphysique. il ne peut pas arriver à vivre si rien ne vient combler l’attente transcendante, qui, de manière viscérale, corresponde à sa nature profonde. pour ionesco, l’attente n’est pas absurde...