Alors que Paris figure parmi les premiers pôles d’attraction pour étudiants à l’échelle mondiale, l’Occupation allemande modifie considérablement la situation de cette mobilité académique. Outre guerre elle-même qui limite échanges, institutions d’accueil sont affaiblies, voire disparaissent. Pourtant, un nombre constant d’étudiants étrangers, souvent dans l’impossibilité rejoindre leurs proche...