Depuis On n’est pas là pour disparaître (2007), la pratique de l’entretien constitue un fil rouge l’écriture d’Olivia Rosenthal, inscrivant certains ses textes dans le sillage des « littératures terrain ». Si l’écrivaine affirme collecter récits vie façon sauvage, à rebours toute méthode prédéfinie, on propose ici montrer que manière dont elle mène et représente rappelle maints égards une autre...