Cet article analyse la représentation littéraire de ville cubaine, et plus précisément du « quartier », comme enfer, cloaque ou monstre, mobilisant tout l’imaginaire antinomique paradis pour révéler ce monde occulte marginalité tapie dans les bas-fonds ville, loin des rues touristiques. À travers descriptions très noires deux localisations urbaines bien distinctes l’île, l’incontournable capita...

Les œuvres de Proust et Dostoïevski, au-delà des différences qui les marquent, en particulier sur le monde, avec ou sans Dieu, la différence statut narrateurs l’intériorité, partagent un trait essentiel: personnages, situations, intrigues nouent n’y sont jamais présentés selon principe causalité permettraient l’explication psychologique, mais dans l’ordre leurs perceptions diffractées par récit...