« J’ai considéré ce roman comme définitivement inachevé le 27 janvier 2011 » : ainsi s’ouvre la postface du romancier catalan Jaume Cabré à son Confiteor (Jo confesso, 2011, traduit par E. Raillard en 2013). Cette formule qui pointe, au-delà de totalité d’une oeuvre publiée, l’infini possible, résonne dans les préoccupations esthétiques et éthiques roman. Malgré l’assiduité narrateur, Adrià, ch...