En parlant de l’œuvre W.G. Sebald, des chercheurs soulignent la « présence muette Shoah » (Dreyfus 2014), et que le sujet reste abordé chez lui plutôt manière oblique (Hunt 2011). C’est précisément cette perspective qui nous intéresse à mettre en l’écrivaine luxembourgeoise Anise Koltz (La lune noircie, 2009) l’auteur belge Paul Willems (Les miroirs d’Ostende, 1978), au moment où ils introduise...