A lire Illusions perdues, le premier constat qui frappe lecteur, est l’extrême diversité du langage de ses personnages. Balzac ouvre sa langue littéraire sur une infinité discours oraux et écrits, nature familière, régionale, diachronique.... Et ce, par l’usage d’une palette diverse variantes linguistiques, se répartissant en sociolectes, idiolectes, régiolectes…, phénomène que certains cherche...